Un roman enquête qui se dévoile par touches délicates et aborde le thème de la transmission à travers les prismes de la parentalité et de l’art. Plongez dans une Ecosse mystérieuse et laissez-vous bercer par la musique des vagues se fracassant sur l’ardoise…
Un pépite tout en sensibilité et douceur !
La plume envoûtante et mélancolique de Philippe Gérin s’empare d’un sujet aussi tendu qu’important : le sort des réfugiés dans une Europe qui se calfeutre.
Un texte puissant, poétique et contemplatif dont vous ressortirez hagard, engourdi et méditatif.
Ce n’est pas un livre qui « fait du bien », c’est un livre qui questionne et nous montre sans jugement, des lendemains peu glorieux.
Un livre nécessaire ?
Ca fait des heures que Joséphine est enfermée dans un placard minuscule au cœur du musée d’Orsay. Toute la classe est repartie en Normandie sans même remarquer sa disparition…
Elle n’en peut plus d’être invisible ou le bouc émissaire selon les humeurs de chacun.
Passer la nuit dans un endroit aussi incroyable peut révéler bien des choses. Entre secrets d’artistes et histoires de muses oubliées elles aussi, Joséphine va de surprises en surprises !
Bel hommage aux effacées des tableaux, un roman féministe plein d’ardeur et de poésie.
Hazel et son père J.C ne s’entendent pas du tout, ou autrement dit, il ne veut pas d’elle dans sa vie. Lorsqu’arrive la mutation de ce dernier à “Ici”, trou perdu au fin fond de la montagne, leur existence bascule.
C’est au pied du sauvage Mont des Ourses qu’Hazel va enfin exister et devenir libre.
Un 1er roman décapant et incisif, écrit avec humour et fantaisie.
DEPAYSANT !
Aventure, suspens et découvertes sont les piliers de ce roman passionnant ! 3 personnages dont les vies vont se télescoper :
Amaka, femme à la tête d’un élevage en Mongolie
Anthony pilote de chasse, victime d’un accident se relève grâce à la fauconnerie
Roxane, une taxidermiste au passé sombre, qui pratique son art sur scène.
L’écriture menée tambour battant mêle descriptions très précises et visuelles, un régal cinématographique !
Le destin rocambolesque et passionné de Joseph, un héros au grand coeur, vous séduira et vous transportera dès ses premières pages.
À l’aube de la 1ère guerre mondiale jusqu’à la fin de la seconde, c’est une valse folle qui se joue, entre amour, résistance, aventure et tension électrique…
Tendre, plein de rebondissements et prenant. Une écriture pétillante et singulière pour un roman incroyable ! “Je t’aime. Je t’ai toujours aimée. Tu ne mourras pas.”
Que vous soyez binoclard ou pas, ce livre est pour vous !
Parce qu’avant tout, cette histoire de binocles, c’est un texte, enfin des micro fictions ou plutôt des saynètes réjouissantes, drôles, malines et tellement bien écrites de la vie quotidienne de l’auteur et de celle des autres, qui vous feront ouvrir grand les yeux et vous apporteront un regard différent sur le port de lunettes ! VU !!!
Que s’est-il passé dans la tête de Jeanne quand elle partit affronter l’anglais ? Etaient-ce les voix saintes ou bien le désir de fuir une pression familiale autour d’un mariage arrangé ?
Comme dans son précédent livre « William », Stéphanie HOCHET met en parallèle sa propre histoire et les similitudes sont troublantes…
Un très beau roman qui explore les opposés et leur attirance entre sainteté et monstruosité et les apparences !
L’essentiel n’est pas de finir une histoire, mais de la raconter !
L’important ce n’est pas le but du voyage, mais le voyage !
Fidèle à ces principes, Jean-Paul Delfino nous emmène avec João, jeune conteur troubadour itinérant qui tombe amoureux d’une princesse qu’il doit délivrer d’un mauvais sort.
Dans ce conte merveilleux qu’aurait enchanté Rabelais, vous allez vivre mille vies en accompagnant João dans ce voyage chimérique !
Des rivalités et des commérages… Rien de bien neuf ni de bien méchant pour une petite commune sans histoire. Jusqu’au meurtre de “La” Marine, gamine sulfureuse de 17 ans. Les portes se ferment, et les regards se font suspicieux, car une certitude frappe le village : le meurtrier est l’un d’entre eux.
Une ambiance pesante mais addictive, des personnages “encroutés” dans leur quotidien, rustres mais émouvants d’humanité.
Une écriture sans fioriture, sobre et efficace, et un sens du rythme qui nous captive : le “rural noir” de Franck Bouysse à trouvé une rivale !!
