Aborder la vieillesse, la mémoire et les troubles que peut amener le grand âge n’est pas une mince affaire ou le sujet le plus attrayant qui soit.
C’est là tout le génie de l’auteur qui réussit à nous plonger dans le quotidien d’un couple aisé mais sur le déclin et d’un petit fils chargé de les “surveiller”.
Original, drôle et poétique, ce texte est à déguster lentement car il est tout en “zigzags jaunes, verticale verte et pointillés rouges”…
Brillant, vibrant et émouvant récit littéraire sur le deuil, la colère, la souffrance, l’amour et la résilience.
Il interroge sur le lien familial, son décrochement et l’abîme qui s’ensuit.
Quand Sandrine Colette s’essaye au conte, nous savons d’emblée qu’il ne sera pas à mettre entre toutes les mains !
Ode à la nature dans toute sa splendeur et sa dureté ; cri de rage lancé à la face des hommes ; ce roman condense tout ce qui rend l’autrice inimitable ! C’est pesant et dur, ça vous prend aux tripes mais c’est pourtant si humain …
Superbe, chamboulant et touchant !
Un roman d’une grande sensibilité abordant avec émotion l’enfance, l’amitié et les liens familiaux.
Dans une ville minière québécoise à la fin des années 80, après des moments vibrants passés avec son meilleur ami, un adolescent tente de retrouver un bonheur perdu et d’avancer après une tragédie…
Entre deux terrils une jeunesse s’enflamme.
“Je me nourris du bon feu,
j’éteins le mauvais.”
BOULEVERSANT
Des faits rigoureusement véridiques et pourtant si romanesques !
Un feuilleton rocambolesque et cocasse doublé d’une satire tout en humour et finesse de la comédie humaine qui se jouait à la Cour de Marie-Antoinette !
Claudine. L.
La narratrice va faire la connaissance de Clara, arrivée en France de Tunisie il y a de nombreuses années.
L’évocation du passé et sa famille est chargée d’émotion, de nostalgie, souvenirs lumineux mais rudes aussi sous l’occupation allemande, la montée du fascisme et l’insécurité. Plus personne ne se sent chez soi nulle part et le sort peut s’acharner longuement sur de pauvres âmes…
Bouleversant et documenté, ce 1er roman nous relate avec finesse et humanité un pan de l’Histoire peu connu.
Pour tenter de combler le vide laissé par le départ de ses enfants, la narratrice décide de reprendre sa thèse consacrée à Rousseau, abandonnée des années plus tôt.
Pour se faire, elle s’isole au château d’Ermenonville, dernière demeure du philosophe. L’occasion d’une rêverie solitaire sur les traces des utopies déçues : celles de Rousseau, du marquis De Girardin, mais aussi de sa propre famille.
Un roman comme un songe, une balade sur les traces de Rousseau qui va prendre des chemins de traverse et nous entrainer sur les sentiers de l’Histoire.
Erudit, accessible, doux et mélancolique.
Cumulonimbus est un roman d’une profonde délicatesse sur l’absence.
La narratrice, dont le ciel de sa vie s’assombrit, s’interroge sur les raisons de la fuite de sa fille.
En partant à sa recherche, trouvera-t-elle, dans sa propre fuite, les ressources et l’apaisement. ?
C’est doux, c’est beau, c’est bien !
Plus que le simple récit de la création des “Petites Cantines”, c’est l’histoire de l’émancipation d’une femme, de solidarité d’une quête de sens et de liberté.
De catastrophes naissent parfois de très belles choses et projets qui font du bien autour de nous.
Poussez la porte du 3 rue Victor Hugo à Bruz et vous verrez !
Un roman désopilant qui nous amène à découvrir le quotidien d’une famille, ses moments de complicité mais aussi ses secrets.
A travers une chasse au trésor imprévue, notre héroïne (mère et belle-mère des temps modernes) va tenter de trouver sa place dans notre société pleine de contradictions.
Ca fait du bien et on relativise !
